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  • Photo du rédacteurBascar

Par delà le bien et le mal

Lorsque Henri Laborit mit en évidence les notions de niveaux d'organisation du vivant (niveaux déja décrits par la Tradition plus de 50 ans avant lui nb), il nous renseigna sur une règle fondamentale de l'Univers : ce qui est souhaitable d'un point de vue peut être délétère au niveau suivant puis à nouveau positif puis encore négatif etc.



A défaut de révolutionner la pensée, cela permet au moins de sortir d'un manichéisme bas de plafond et illustre une notion toute simple : on ne perd jamais de tous les points de vue.


Et son corolaire : on ne gagne jamais de tous les points de vue.



Saisir cela c'est commencer à rebrancher ses lobes frontaux, à sortir d'une appréhension du réel basée sur l'économie cognitive du limbisme.


Le fameux glop/pas glop que l'on retrouve exprime avec à peine plus de sophistication dans les divers jugements moraux de notre socio-culture.



Lorsque l'on adopte cette vision "grand angle", l'on réalise l'impossibilité d'un jugement catégorique et toute la complexité des questions éthiques.


L’Esprit gagne alors en hauteur de vue, en pondération et l'individu commence à s'éveiller à une partie de son potentiel humain.



Bien sur, les moins futés entendrons ceci comme le fait de promouvoir une sorte de "relativisme absolu".



Il n'en est rien, le relativisme absolu est une contradiction.


Le perspectivisme, lui, en revanche...

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