Car oui, l'absence du Père est -aussi- une forme de maltraitance.
Entendez moi-bien, la déconstruction est une étape passionnante et nécessaire de l'évolution humaine.
Mais ici, c'est le règne de l'indifférencié.
Dans cet exemple, c'est donc le ressentit de l'enfant qui serait érigé en absolu.
L'enfant devient "pere" avant d'avoir été "pair" au sein de la communauté des hommes.
Il n'est plus contenu, ivre (voir murgé) de son ipseité.
Si je me relie à l'intention de base consistant à assurer la souveraineté de l'enfant, je rappelle que, par définition, un "infant", c'est celui qui n'a pas la parole.
En oblitérant ainsi l'autorité parentale, on continue de promouvoir une approche psychotique du réel au sein duquel règne l'indifférencié, brisant ainsi les distinctions fondamentales qui fondent et notre culture et l'approche Traditionnelle :
Le distinguo entre l'homme et la femme
Le distinguo entre les parents et les enfants.
La complémentarité des rôles, des générations, des sexes autour d'une Unité commune : la perpétuation de la Vie.
Ici l'individu se résume à sa composante atomisée, sans contenance ni capacité d’être contenue.
C'est l'identification à la surface, au désir.
A cet endroit, satanisme et luciferianisme se rejoignent dans le meurtre symbolique de l'enfant en bas age.
Il s'agit de normaliser la maltraitance afin de conserver sa propre forclusion dans les limbes.
Une fuite en avant de soi via le sacrifice de milliers d'enfants.
Car oui, l'absence du Pere est -aussi- une forme de maltraitance.
Pour le reste rien qui n'ai pas déjà été annoncé depuis des décennies, la famille constituant un des derniers bastions de résistance au contrôle massif des populations par l’ingénierie sociale globale.
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