Lorsque j'ai commencé, au début des années 2000 à apprendre a quel point il était facile d'entrer dans le cerveau de quelqu'un, j'ai vite été fasciné puis, à dire vrai, quelque peu effrayé.Puis j'ai réalisé, petit à petit, ce qu'impliquait cette "compétence" dans l'immense majorité des champs de l’expérience humaine...
Récemment, plusieurs chercheurs proposèrent l'idée de "droits à la liberté cognitive" avec l'idée de défendre cet ultime bastion de liberté, aujourd'hui menacé (on le voit bien avec la dernière campagne présidentielle où les succès du neuro-marketing furent littéralement foudroyants).
Si ce type de droit - que l'on nomme "faux droits" en philosophie du droit car ils sont des "droits à" et non des "droits de" cad qu'ils impliquent la réduction de droits d'autrui- j'y serais néanmoins favorable A TITRE VOLONTAIRE.
C'est à dire de vivre au sein d'une communauté d'individus reconnaissants librement et collégialement l'importance de la liberté psychique.
Manquerait plus qu'on hypnotise des gens pour les rendre favorables à la liberté cognitive...
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